Aprés deux semaines et demi
d’attente on fini par embarquer sur le ferry au petit matin,on a
attendu presque toute la nuit dans le port
comme prévu le lendemain
matin on est au large de Bakou mais on passe la journée en attente
de je ne sais quoi pour finalement débarquer à la nuit
vu le temps perdu je prends un
taxi pour bakou pour attrapper un train de nuit pour tbilissi,
complications ils ne veulent pas du vélo,il faut le démonter
arrivé en georgie il n’y
aurait qu’un train de nuit pour Poti,ça n’a pas d’intérêt je
fini par prendre un petit bus,l’ambiance est désagreable,porteurs
de bagages pour les touriste à l’affut d’une bonne affaire,rien
à voir avec les derniers 6 mois de voyage
arrivé à 15 km de Poti le
bus me large en pleine campagne,il fait déjà nuit, car lui
finalement va à Batumi
je vais jusqu’au port,
demain c’est dimanche mais s’il y a un ferry ça sera ouvert
je croise la police qui va
m’emmener au quartier général de la police où je peux camper sur
leur parking
le lendemain c’est bien
ouvert mais avec un ferry que pour l’ukraine
je repars en vélo cette fois
pour Batumi à 60 km de là,il fait un temps estival surprenant pour
mi décembre, j’espére trouver un ferry pour la bulgarie, cette
fois coup de chance un ferry part le soir même pour Burghas
2 jours de ferry,il n’y a
pratiquement que des chauffeurs de camions et j’en ai un avec qui
je partage la cabine qui ronfle comme pas possible mais il faut
s’adapter
Pendant la traversée le temps
change et se met au froid, pour aller en turquie on monte à 600m ,je
trouve froid et neige, je traverse un village fantôme , il ne reste
qu’une dizaine d’habitants dans un village avec plus d’une
centaine de maisons (ça a été déserté aprés la chute du mur
1989) mais je suis bien accueilli dans une petite caravane chauffée,
par ce temps glacial c’est bienvenu
Passage en Turquie ça change,
les petits villages grouillent de monde, pour Noël je suis invité
au restau et j’ai aussi des petits cadeaux teeshirt et sirop de
betterave fait maison
je regagne istambul ,je suis
bloqué par la police , c’est interdit de prendre le pont à vélo,
une dépanneuse venue chercher une voiture m’emméne
je passe dire un bonjour au
patron du restau qui m’avait ouvert sa portiére, je crois qu’il
m’invite à manger mais non ,il veut que je régle l’addition ,
il attend encore
je retourne à l’hostel bien
sympa, passe dire bonjour à mon réparateur de vélo et trouve un
warmshower pour le soir, je vais fêter le nouvel an avec eux,j’en
ai même un deuxiéme qui était prêt à me laisser sa maison pour
le weekend mais on ne peut pas être partout
le 2 janvier je pars en
cargo,plusieures étapes dans des ports turcs, puis Malte et valencia
en Espagne, je suis le seul passager sur le cargo, l’équipage est
polonais,pas trop sympa sauf un slovaque très sympa,c’est un des
pilotes
l’Espagne c’est la bonne
surprise,beau temps sec et pas trop froid,des pistes cyclables
partout et je recommande en particulier « la via verde de la
tierra alta » avec de nombreux tunnels à travers la montagne,
des automobilistes d’une
grande civilité quand on est pas sur une piste cyclable,
des champs d’orangers et
même des orangers sauvages ,on peut se servir c’est la capacité
des sacoches le facteur limitant
des champs d’oliviers où le
terrain est parfaitement plat pour faciliter la cueillette et du coup
terrain de camping idéal
un paysan sympa bien qu’il
aime sa centrale nucléaire chez qui j’ai fait halte
par contre les warmshowers ne
repondent pas souvent positivement
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